Guarin Doogeunom

Appelation : Il préfere changer de nom chaque jour pour ne pas tomber dans la monotonie, mais certains surnoms restent comme:
Buck ou Guarin Doogeunom (souvent écorché en Guarin Douxjeunehomme ce qui est tout à fait idiot)

Âge : 23 ans

Village d'origine : Aucun en particulier

Histoire : Guarin (nous l'appellerons comme cela pour plus de simplicité) vint au monde en sautant d'un bouton de coquelicot lors de l'éclosion de ce dernier. La fleur magique qui lui avait donné naissance avait été invoqué par un puissant sorcier, Tnahcem Sertt, cet être, particulièrement maléfique, pris le jeune satyre comme vassal et bouffon. Guarin aime comme un père celui qui l'a créé et exécute le moindre de ses ordres. Esprit follet, il maîtrise à la perfection la syrinx, comme tout satyre qui se respecte, il jongle danse, fricote avec les dryades et caracole à longueur de journée. Il s'exprime continuellement en vers et ne trouve de sens à la vie que dans les farces et autre mauvais tours pendables. Son maître l'appelle Buck en général, la vie de Guarin comporte peu d'élément intéressant vu qu'étant né adulte il n'a en réalité que 7 ans. Son maître, il y a bien longtemps a fait une énorme gaffe, il a jeté une malédiction qui aujourd'hui menace de troubler l'espace-temps car le nombre de maudit devient bien trop important. Tnahcem demanda donc à Guarin de les retrouver tous et de les tuer, le jeune satyre zélé accepta cette tâche. Le dicton dit "tel maître, tel valet" et il n'a jamais été aussi juste que pour ces deux là. Toute la malice du maître est également présent chez Guarin, Tnahcem avait jadis, pour le plaisir, lancé sa malédiction sur le père de sa femme, qu'il haïssait car elle l'avait trompé, de manière à détruire la vie de tous ceux qu'elle aimait. Maintenant que vous cernez un peu plus Tnahcem, vous saisirez mieux Guarin. Doucereux, enjôleur, menteur, hypocrite, voleur, le jeune satyre a vraiment tout pour plaire. Sa tâche le mena en Lus, où il apprit l'existence du Kawanda, songeant que cet objet pourrait l'aider dans sa tâche, il décida de partir à sa recherche tout en continuant à tuer les maudits qu'il croiserait, il les trouve grâce à une aura qui émane d'eux et que son maître lui permet de sentir grâce à sa magie. Guarin ne sait pas exactement à quoi correspond cette malédiction mais espère bien tirer au clair cette histoire un jour.

Alignement : Mauvais

Caractère : Guarin se passionne pour la poésie sous toute ses formes, il idolâtre la musique, l'amour et la beauté malgré son tempérament foncièrement maléfique. Farceur il sait se montrer, mesuré en bonne compagnie, il aime autant les histoires d'amours heureuses que tristes mais n'intervient jamais dans ce genre de chose sans un ordre de son maître qui se désinteresse complètement de ces "futilités".
Défaut: fourbe, machiavélique, farceur, enjôleur
Qualités: incroyablement romantique, poète, agile, bon musicien, jongleur, acrobate.

Description physique :
-Couleur et nature des yeux : Marrons
-Couleur et nature des cheveux : Chauve
-Silhouette, poids et taille : 167 centimètres, 61 kilogrammes 50 à peu près, Gharin a un corps mince et sa musculature est normale
-Allure : Il se déplace généralement en sautillant, en courant ou encore en faisant des cabrioles, ce qui donne une première impression assez variable. Dans l'ensemble un tel étalement de joie et de bonne humeur plus ou moins malsaine provoque la méfiance. Il porte un flûte de Pan en bandoulière, un pantalon en peau de chèvre ainsi qu'un simple débardeur fait d'une étoffe grossière qu'il enlève quand il ne voyage pas.

Relations :
Tnahcem Sertt: 100%

Pourquoi recherche-t'il le Kawanda ?
Il recherche le Kawanda pour éliminer plus facilement les maudits que son maître l'a chargé d'éliminer ou, éventuellement le donner à son maître s'il a accompli sa prime tâche entretemps.

Message type :
Le satyre, qui avait aujourd'hui décidé qu'il s'appellerait Augustin entra dans l'auberge tranquillement, d'un pas léger et souple. Il parvint jusqu'au comptoir, et, après un bref entretien avec l'aubergiste, bondit lestement sur une table et s'exclama:

"Allons beaux messieurs et damoiseaux, belles dames et damoiselles aujourd'hui je vous le dit sur un simple coup de tête, c'est jour de fête! "

*le satyre tire quelques accords rythmés de sa flûte puis reprend*

" Goûtez le vin, ingurgitez la bière, ne vous privez point! Buvez et soyez en fiers! C'est moi Augustin, galopin frivolle qui pour donner le ton exéutera moult cabriole! "

*joue encore un peu de flûte en dansant puis relâche l'instrument et saute de table en table lestement, prend deux chopes au passage et se met à jongler avec dextérité*

" Amusez-vous, soyez fous!"

Le satyre continua ainsi tout en essayant de percevoir l'aura des maudits que son maître l'avait chargé de retrouver. Une chope cerclée de métal ayant déjà pris de la vitesse jetée sur sa cible passerait pour une simple maladresse, il insisterait pour escorter lui-même le blesser jusque chez un médecin, s'en débarrasserait en chemin puis reviendrais faire la fête. Le satyre rit intérieurement à cette idée.