Almée - Forge de Patras ( utilisée par Thallas )

Pix: Lanfeust de Troy ou des Étoiles ( BD )

" Bonjour, je suis Thallas, un nouveau forgeron. Voilà mes oeuvres standarts car sinon je vais beaucoup d'autres protections sur mesure mais si vous souhaitez des oeuvres sur mesure, c'est à vous de fournir le matériel ! Au revoir ! "

Histoire : Thallas a été appelé par Métlas, son ancien maître forgeron pour remplacé Patras mystérieusement disparu. Ses parents veulent qu'il se marie vite ( un joueur si possible ! ). Il recherche une femme pour tenir la boutique et l'aider. Il a récemment fait un casque magnifique pour Imrick, qui lui a permit de le poinçonner pour qu'il lui fasse de la propagande.

Relations :
Métlas %100
Imrick %55





















Nouveau Stock amené par les aventuriers :

Aucun.

Ce qui se passait dans Lus I... à continuer !



Thallas marchait préoccupé et un oeil traînant sur les jeunes filles qui passaient. Il arriva à la boutique de Patras, dans son souvenir elle tombait en ruines, mais Patras avait dû la renouveler... Il entra dans le magasin et s'apperçut de la saleté de la boutique, il déçida qu'il engagerait une bonne qui ferait le ménage et qui tiendrait la boutique avec lui...

* Oui, j'irais accroché un message sur la place publique... ! *

Ses joues étaient noires de suie, il les frotta jusqu'à qu'elles redeviennent propres et déçida de se mettre en route pour la place publique muni d'un parchemin et d'une plume. ll était athléthique, courrait vite et bien et était bel homme, qu'attendaient de plus les femmes ?





Imrick entra dans la forge de bon matin. Il remarqua que Patras avait était remplacé par un jeune forgeron ce qui était loin de lui déplaire, il n'avait jamais apprécié le vieux forgeron qui l'avait escroqué. Il s'adressa au jeune homme directement.

" Bien le bonjour, j'aimerai renouveller mon équipement.
À commencer par le casque, j'aimerai un casque qui possède à la fois les deux enchantements que vous proposez et qui soit très solide.
Encore une chose il faudrait qu'il évoque par sa forme la tête d'un oiseau de proie. Suite à quoi je vendrais mon ancien casque. "

* Voyons combien cela me coûtera, je dois garder de l'argent pour me faire forger cette arme. *





Thallas se retourna ravi que son premier client arrive, et encore mieux il était riche et passait une commande complexe et amusante !

* Mais présente-toi ! Bon dieu ! *

* Il n'est pas surpris de me voir à la place de Patras ? [ ] *

" Le bonjour vous revient, je suis Thallas maître forgeron... "

* Qu'est-ce que ça sonne bien ! *

" Je remplace Patras pour quelques temps, quant à votre casque, je me crois tout à fait apte à vous le concevoir. Mais pour les enchantements allez plutôt voir un mage qui vous fera de biens meilleurs enchantements que moi. "

Thallas allait chercher dans sa réserve la matériel nécessaire quand il se dit :

* Relation, discussions ! *

" Je vous le ferais livrer demain, si ça ne vous dérange pas trop. À quelle adresse ? "

Thallas commençait à se faire au métier de maître forgeron, c'était agréable même si les clients ne l'étaient pas toujours.





Imrick sourit en immaginant la tête qu'allait faire le bonhomme.

"Au chateau de Nathia. Demandez sire Imrick."

Repondit-il simplement. Il se retourna puis tourna à gauche sa tête avant d'ajouter.

"Je vous y payerais, et amenez un poinçon, si le travail me satisfait je vous laisserez y imposer votre griffe pour vanter votre travail à la Cour."

À ces mots il sortit, Métlas devait être encore chez lui, il préféra allé voir ses amis à leur repère et leur annoncer son annoblissement.





Thallas avait sourit quand il s'était aperçu que l'homme était bien bon pour lui. Il mit alors tout son talent dans le casque à confectionné. Il prit d'abord un de ses meilleurs métariaux : léger et résistant, qu'il fit chauffer à blanc. Il lui fallut de longues heures pour donner au casque sa forme : un oiseau de proie. Thallas essuya la sueur qui coulait sur son front et admira l'oeuvre. Le métal scintillait lorsqu'il croisait la lumière...

* Su-per-be ! *

Thallas prit alors le poiçon qu'il s'était confectionné, il y a bien longtemps avant qu'il abandonne son rêve : devenir maître forgeron. Thallas monta à l'étage et s'endormit deux heures sur le divan d'une sommeil profond. Il fit sa toilette et s'habilla pour l'occasion, prêt à rendre visite au Sire.





Fïdà était heureuse, elle se trouvait magnifique dans son costume et son beau-frère Métlas était extrêment gentil. Fïdà était revenue sur ses pas car elle avait oublié d'acheter des armures. Elle arriva près de la boutique et vit un jeune homme qui forgeait avec enthousiasme. Il travaillait donc à cette heure-là ! Il avait beaucoup de courage, il était tard. Fïdà et Toritàs entrèrent dans la boutique avec élégance.

" Bonjour Mon Sieur,
Je suis Fïdà Lédènswood et voici mon frère Toritàs. Pouvez-vous nous forger cet équipement : deux casques aîlés, deux capes de camouflage et deux armures d'écailles de Dragon. Je voulais savoir si vous livrer ??"



Toritàs sortit la bourse dont il avait héritée puis l'accrocha à sa ceinture de façon à ce qu'on la voit.





Thallas qui venait à peine de rentrer se vit appelé "Mon Sieur" et se mit à en rire.

* Voyons, ais-je l'air d'un noble ? [ XD ] Ne savent-ils pas dire : "Maître Forgeron " ? *

Il regarda un peu plus sa visiteuse, elle était belle et tout à fait à son goût. Ses parents le voulaient marier, alors pourquoi pas avec une belle et gentille femme ?

" Mademoiselle, avez-vous l'affiche que j'ai mise sur la Place publique de Nathia ? "

* Je me suis éloigné du sujet initial... *

Il était émoustillé par la beauté de la jeune fille, et espérait bien en faire sa femme mais d'abord son aide à la Boutique, c'était un bon début ! Il vit l'homme qui accompagnait la créature de rêve, il avait mis bien en évidence sa bourse bien remplie.

" Pour votre commande, êtes-vous sûr de pouvoir la porter, Mademoiselle ? "

Car le corps de la fille ne semblait pas très musclé...





Fïdà fut surpris de la beauté de l'homme, elle n'avait pas vu d'affiche et elle n'est pas aller à la place publique. Elle se servie de son charme.

"Je n'ai pas vu d'affiche car je viens d'arrivé cher mon beau-frère Métlas, mais vous prouver me dire ce que cette affiche voulait signaler ??"

Elle entendit les paroles de l'homme disant si elle pouvait la porter.

"Sachez, que je porte 60 kilos aisément."





"Euh..... cette affiche... cherchait de l'aide quelconque d'une femme... euh... qui saurait faire le mennage et qui euh.... "

Rougissant comme une pivoine, il detourna la tete. Donc, ses parents le voulait marié. Et lui avec elle, ca lui irait tres bien. En proie a une certaine confusion, il tenta de changer de sujet rapidement tant il avait l'air stupide a s'enfoncer betement avec des 'euh'. Il ecouta la remarque de la jeune fille. Tachant d'avoir l'air intelligent - tache impossible lorsqu'on rougit et qu'on est legerement... genne par une merveilleuse creature.

- erudition subite! -

" Mademoiselle, je crains que vous ne comprennez pas... une armure depasse largement les soixantes kilos a elle seule... etje vous vois mal porter... environ..."

-deserudition subite...-

*Euh... calcul conmplique... alors.... l'armure fairt environ... soixante-dix kilos et le casque.... trente... soixante-dix plus trente.... difficile! Arghl, ma tete!*

-reerudition subite!-

"...cent dix kilos, par personne! Mais si vous voulez, je peux livrer... si mademoiselle accepte mon offre comme precisee sur la pancarte."





Fïdà sourit quand elle vit que le forgeron rougissait et que son charme agissait. Mais pour une fois, la personne qu'elle charmait était plutôt charmante elle-aussi. Elle regarda attentivement les oeuvres du forgeron et elle savait qu'elle devait à tout prix trouvé un travail pour gagner de l'argent.

" J'accepte votre offre, si cela vous fait plaisir, car j'ai besoin d'un travail. Et si vous avez besoin par contre mon frère Toritàs forge très bien, et il sera ravi de travailler avec vous. "

Elle lui fit un petit clin d'oeil qui laissait comprendre qu'il était à son goût. Elle regarda son frère persuadée qu'il aimerait bien forger.

" Pour la livraison, savez-vous où habites Sir Métlas ? "

° Amoureuse °

Elle entra dans l'arrière boutique, c'était sale, pas très organisé ni rangé, et remplie de métaux. Elle dit d'abord à Thallas :

" J'aurais beaucoup de travail ici. Et j'espère bientôt vous revoir ! "

Elle sourit pour bien qu'il comprenne qu'elle l'aimait.





"Euh... oui, à nathia... euh... je crois..."

Le clin d'oeil que lui fit la fille ne fit que le rendre encore plus rouge et encore plus confus - en effet, ça ne le gênerait absolument pas de se marier avec elle... Voyant qu'il s'ebnfonçait dangereusemen dans des pensées qui n'avait rien voir avec la situation présente, il tacha de se reprendre.

°Confusin+gêne+amour°

"Bon... euh... vore frère peut très bien rester ici m'aider... si ça ne le gêne pas..."

*Si ça peut lui faire plaisir...*

Fïdà commençait à avoir mal aux jambes d'être restée si longtemps debout sans s'asseoir et sans se reposer, elle décida donc d'abréger la discussion. Elle mit son doigt sur son menton et les yeux en l'air comme si elle réfléchissait. [HS : comme si elle réfléchissait lol]

" Je vais commencer à faire le ménage tout de suite pendant ce temps mon frère ira chercher des matériaux dans la montagne, cela vous convient-il ? "

Fïdà se saisit d'un balai proche et commença à faire le sol. Mais il lui manquait des accessoires.

" Il me faudrait peut-être un chiffon et un tablier pour éviter de me salir lorsque je fais la poussière. "

* Je veux bien faire la femme de ménage mais je vais pas lécher les meubles, un minimum de matériel serait le bienvenu ! *

Dès qu'elle eut fini de faire le sol, elle posa le balai, elle fit un grand sourire au forgeron et sortit en lui faisant un petit signe de la main tout en prononçant ces douces paroles :

" Je vous attends "chez Marie", une taverne très respectable ici, dans Almée. Quand vous aurez acheté le matériel venait me prévenir, je commencerais tout de suite. "




Toritàs écouta le discours de sa soeur, et était parfaitement d'accord avec elle. Il avait aussi compris qu'elle avait un faible pour Thallas, le forgeron car elle ne se comportait pas comme ça d'habitude. Alors sa soeur sortit, lui ne sortit pas tout de suite, il dit au forgeron :

" Je vous attends aussi "chez Marie", je n'aurais besoin que d'une pioche ou d'une pelle et d'une moyen de locomotion. Sur ce, je vous souhaite une bonne journée. "

Toritàs se tourna et se dirigea vers la porte. Une fois sorti, il rattrapa sa soeur en lui disant, essouflé :

" Es-tu tombée amoureuse ? "

Fïdà tourna la tête, ne souhaitant pas répondre à cette question.

Toritas comprit et cessa de lui poser des questions. Quinze minutes plus tard, ils arrivèrent chez Marie.

[ Suite chez Marie, l'aubergiste à Almée --> ]

Thallas attendit qu'ils soient partis pour soupirer un bon coup. Il avait déjà plus de travail encore, d'autant plus qu'il devait aller décrocher le mot qu'il avait laissé sur la place publique dans lequel il disait qu'il avait besoin d'une femme qui l'aide.

* J'ai encore plus de travail que d'habitude ! Ils viennent à peine d'arriver et je dois me plier en quatre... Ais-je eu raison ? *

Thallas frotta du bout des ongles le comptoir, pendant qu'il réfléchissait et s'interrogeait. Il n'était pas dans un très bon état, et il ferait mieux de se reposer et sortir un peu.

* Peut-être que je pourrais rendre visite à des amis ? Enfin, ici, je n'ai que Métlas, et je connais juste un jeune Sire pour qui j'ai forgé un casque et qui risquerait de me prendre de haut. Quand à cette elfe, je crois qu'elle a vite fait de me prendre pour larbin et qu'elle m'a séduit dans ce but. Je ne suis qu'un pauvre être exploité. *

° Déprime °

Thallas se laissa aller sur le mur derrière lui, et il s'y adossa. Sa forge était vide et l'atmosphère silencieuse pesait.

* Peut-être qu'avant d'aller faire toutes ses courses et de retirer mon parchemin sur la place, je pourrais aller me réjouir le coeur avec quelques bières dans une taverne. Je devrais sûrement marché un peu pour ne pas me rendre à la même taverne que Fïdà et Toritàs. *

Sa décision prise, il prit une bourse contenant assez de pièces d'or pour qu'il puisse boire jusqu'à qu'il perde la raison. Il ferma à clef, la triste et sombre forge pour se mettre en route vers Oslo.

* Un homme m'avait dit que cette taverne était amicale et qu'on y rencontrait du monde ! *

Suite dans la taverne d'Oslo.