Topaze (baronnies) - Ophéline Dorée

Ophéline Dorée est la tailleuse ayant la meilleure réputation dans Lus, lorsque sur un habit est remarqué cette minuscule patte de chat - la marque d'Ophéline Dorée - un respect s'installe et la personne qui porte son vêtement est réhaussée. Seulement le respect et le luxe apportés ont fait d'Ophéline Dorée le Tailleur le plus prisé mais surtout le plus cher de Lus. Malgré tout la qualité exceptionnelle de ses vêtements fait que si vous avez besoin de vêtement, c'est à elle que vous devez vous adresser ! D'ailleurs faire son apprentissage dans une maison comme celle-ci vous assure un avenir heureux, mais des rumeurs courrent comme quoi Ophéline ferait passer des épreuves tellement difficiles qu'elle n'a jamais pris personne en apprentissage. Ophéline est une femme très aimable et elle sait écouter les gens. Pour avoir une aperçu de ses travaux, regardez les habits soyeux accrochés aux cintres, mais ce ne sont que des modèles d'exposition car Ophéline fait tout sur mesure...



Rédiger par daemon08

500 po à Illidan pour l'idée !

( Yris et Rubi arrivent de la Taverne de Marie )



Rubi était très fatiguée, durant la longue marche qu'elles avaient entreprise elle n'avait cessé de porter Perle qui ne pouvait pas marcher à son âge et qui aurait été bien trop lente et fatiguée elle aussi. L'intention d'Yris d'acheter des vêtements à sa fille la touchait beaucoup, Rubi n'avait que peu d'argent en poche, environ 200 pièces d'or, mais elle devait trouver des sabots à sa fille car elle risquerait d'attraper froid avec ses pieds-nu et l'hiver qui approchait. Pendant qu'elle marchait, Perle lui montrait du doigt toutes les choses qui lui semblaient dignes d'intérêt dans les rues de Topaze, une partie des baronnies. La dernière chose que Perle pointa du bout de son doigt vu la boutique richement décorée d'Ophéline Dorée. Rubi, s'arrêta deux secondes devant la riche batîsse pour arranger les habits de sa fille, tirant sur certains plis et arrangea les petits jupons. Ensuite, elle tendit sa fille à Yris :

" Tiens Perle, s'il te plaît. Je vais t'arranger, il faut que nous paraissions riches et très arrogantes, car cette bonne femme est hautaine et ne sert que les riches clients. "

De ses doigts fins elle recoiffa et remit en ordre les cheveux d'Yris et ceux de Perle, après avoir passés ces même doigts dans les siens.

" Prête Yris ? Bon et toi, Perle sois sage, et fais semblant d'être une petite fille très riche, d'accord ? Enfin, non, ne dis rien, sauf quand tu trouves quelque chose jolie et ne parle surtout pas d'argent, entendu ? "




" Oui. Maman, je t'aime. " répondit l'enfant docilement avec amour.

Yris, Rubis, et Perle rentrait dans la magasin. Elle était éblouie par le luxe que refletaient les habits. La vendeuse avait l'air sympathique mais autaine, Yris reagrda à sa droite un chapeau accroché, il était d'un rouge si pur qu'on pouvait le compqarer a du sang. Elle se retourna et vit Rubis regarder des habits pour Perle, elle detourna son regard et fixa le manteau encpre une fois, elle éatit comme hypnotisée ^par cet habit : elle le voulait.

* Je crois que pouvoir l'acheter il me faudra des mois des paye, mais je ais demander quand même ! *

Elle reagrda autour d'elle et vit des habits pur Perle qui pourrait lui plaire a moin qui ne soient trop chers. Tous ces vêtements était cousus et teints avec soin et munitie :Yris admirait le travail d'Opheline qui d'ailleurs était très treès professionnel.

" Bonjour Madame, je voudrait savoir combien coûte ce chapeau rouge ? "

Yris atendait sa réponse avec impatience ...

* J'espère qu'il ne coûte pas très cher ! *

° Anxieuse °

Rubi tournait dans la boutique, à chaque passage elle découvrait d'autres adorables vêtements qui conviendraient parfaitement à Perle. L'instant d'après elle avait trouvé ce qu'elle cherchait ; des petits sabots délicats dans un bois clair.

* Parfait, j'espère que j'ai assez, on ne fait pas crédit ici. *



Perle attrapait des habits de couleurs clairs ou tantôt vives, elle était charmée par l'ambiance magique et de luxe qui régnait dans la boutique. Elle s'aperçu que sa mère regardait des sabots pour elle à en juger par la taille. Elle s'approcha et admira les délicates chaussures.

Rubi savait qu'il fallait rivaliser d'élégance pour s'adresser à la vendeuse, c'est pourquoi elle prit une voix prétentieuse :

" Bonjour, Mademoiselle Ophéline, je vais me présenter bien que vous devez me connaître de réputation... Demoiselle Gladys des Fontaines, mes terres sont situées Oslo. J'aime beaucoup ces chaussures et elles iraient parfaitement à cette jeune fille, ne trouvez-vous pas ? Seulement je me suis faite volée ma bourse dans laquelle j'avais dû mettre... une pacotille... 5 000 pièces d'or ? Oui, cela doit être ça, maintenant je suis embêtée il ne me reste que 200 pièces d'or que ma servante portait ! J'ai fait un si long voyage que je suis lasse et attristée de ne pouvoir acheter l'objet de ma venue... Vous comprenez, n'est-ce pas ? "

Rubi avait été parfaite dans son rôle de noble, elle fixait hautainement Ophéline sans respect, elle l'avait tout de même appelée "Mademoiselle Ophéline. "



Ophéline observait les jeunes filles depuis leur entrée dans son antre, elle n'avait pas peur des vols plutôt qu'elles abîment sa marchandise, ses oeuvres. Elle s'inclina :

" C'est un plaisir de vous recevoir mesdemoiselles. Je suis Ophéline Dorée, vous vous trouvez dans ma modeste boutique. Ah, ce magnifique chapeau... il vous plaît, c'est évident ! Il vous coutera la modeste somme de 2 000 pièces d'or par contre pour vous Demoiselle Gladys des Fontaines, je suis profondément navrée qu'on ait osé vous voler. Ces sabots coûtent habituellement 1 000 pièces d'or, elles sont l'oeuvre de longues heures de travail, mais je vous les céde gentillement en gage de mes bonnes intentions pour 200 pièces d'or. "

* Cette femme est riche, elle me fera une bonne réputation, en répandant du bien sur ma boutique. *

Ophéline n'avait pas l'habitude de marchander ses habits mais pour sa réputation elle aurait fait beaucoup de choses.

Yris était déçue de la réponse de madame Ophéline , elle ne s'attendait pas du tout a ce prix. Rubis l'avait bien prévenue, d'ailleurs celle ci jouait très bien la comédie. Elle alla rejoindre Rubis qui était en train de choisir la taille des sabots pour Perle. Yris voulait acheter un habit pour la petite file mais ce magasin était beacoup trop cher et luxueux pour elle.

* Et mince , il faut que je travaille dure et beaucoup plus longtemps à l'auberge pour pouvoir obtenir beacoup d' argent, peut être qu'il faudrait que je travaille dnas un autre endroit. *

" Rubis, alors vous allez les prendre ses sabots ?, je suis vraiment désolée je croyer avoir assez d'argent pour pouvoir acheter quelque chose à votre fille mais je crois bien que je ne pourrais pas. "

Yrid était désemparée et comprenait que s'allait être dur de s'integer dans ce milieu bourgeois.

° désemparée °

* Voila c'est le premier échec pour moi ! *

Rubi sourit à Yris l'excusant du regard, puis elle se détourna d'elle pour regarder Ophéline gentillement.

* Yris comptait acheter quelque chose à Perle, c'est vraiment sympa de sa part. Ca m'étonne car elle semble vouloir tout pour sa réussite chez Marie mais maintenant elle veut dépenser son argent pour Perle... Hum, je suis septique. Que fait-elle ? *

Elle se remit à jouer la comédie, pensant qu'il valait mieux continuer ainsi jusqu'à qu'elles sortent du magasin :

" Chère Ophéline, voyez cette servante, elle voulait acheter quelque chose dans votre magasin. "

Elle rit d'un rire qui n'était pas le sien, suave et grave.

" Dieu seul sait, à quel point elle aime cette enfant que dans ma bonté j'ai recueillie, mais sachez qu'elle est très rêveuse. Et vous, mademoiselle, apprenez que ce n'est pas à vous d'habiller ma vie, mais au tailleur royal, ces souliers sont pour moi un cadeau, que je lui offre de mes propres mains. J'ai honte, Mademoiselle Ophéline, d'acquérir pour aussi peu d'argent ces souliers, mais si c'est en gage de vos bonnes intentions je ne les refuserais pas. Malheur à moi, si j'osais vous outrager ainsi. "

Rubi sortit délicatement de sa bourse, ses 200 pièces d'or, qui consitutaient son salaire la journée. Elle était très bien payée chez Marie, et elle ne l'oubliait pas. Elle tendit l'argent à Ophéline puis remit les sabots à Yris, qui devait les porter puisqu'elle jouait le rôle de sa servante.

Yris était déçue de cette journée, elle se sentait épuisait mais ne devait pas abandonner de si tôt. Yris venait à peine d' arriver dans cette nuvelle vile avec ses habitants d'une autres mentalités qu'elle découvrait ses premières difficultés. Elle voulait rentrer chez Marie, et était décidée à travailler dure pour réussir. Yris savait que cette aventure allait être compliquée, mais elle gardait espoir à l'idée de rencontrer de nouvelles personnes, de nouveaux lieu, avoir une amant , se marier et biensur avoir des enfants. Elle avait plein de rêves a réaliser masi elle n'avait pas peur ...

* Cette journée m'aura appris beaucoup de chose *

° Déçu et optimiste °

Elle suivait Rubis et Perle d'un pas pressant et attendait avec impatience le lendemain.

* Il va falloir rentrer à l'auberge *

" Rubis, j'aimerai bien retourner à l'auberge, me reposer un petit peu, et travailler de nouveau, j'espère que ça ne t'embêtes pas "

* Il faut que je continue de travailler d'arrache pied pour réussir sans ça je n'arriveai à rien ! *

° Determinée °

Rubi soupira d'aise en prenant les sabots de bois, bien que maintenant paraître bourgeoise gardait son importance puisqu'elles n'étaient pas encore sorties de la boutique. Rubi reprit une voix hautaine pour s'adresse à Ophéline :

" Ainsi, Mademoiselle, je prends congé de vous. "

Rubi était lasse, elle sortit de la boutique en quelques pas, poussant la porte avec une grâce évidente. Dehors elle s'appuya sur le mur tout en s'assurant qu'elle ne pouvait être vue par Ophéline, elle passa une main dans ses longs cheveux bruns avec ennui. Elle finit par approuver Yris ;

" Oui, rentrant nous reposer à l'auberge. Je n'en peux plus. "

Elle tenait Perle dans ses bras, avec amour elle sortit de leur boîte les sabots. Elle les mit à Perle et sourit de contentement :

" Oh, ma chérie. Ils sont parfaits ! "

Elle tint fermement la jeune fille et elle commença à marcher vers Almée. Elle observait avec minutie les gens dans la rue, parfois elle en saluait quelques uns avec familiarité, cette familiarité que l'on retrouve souvent chez les gens pauvres qui doivent souvent s'entraider avec chaleur. Rubi songea qu'il faudrait qu'elle danse un peu pour se dérouiller, qu'elle se lave et se prépare pour le soir. Peut-être que Marie lui payerait les bains, non, car elle lui avait donné deux cents pièces d'or et ne pouvait s'imaginer qu'ils étaient partis dans l'achat de sabots pour enfants. Tant pis, elle chercherait un moyen plus tard.

* Ah mais oui, peut-être qu'Yris m'accompagnera aux bains. Elle doit être fatiguée, entre temps j'irais chercher des pièces d'or dans ma réserve d'argent. *

" Yris, voudras-tu qu'on aille aux bains ? On marchera encore un peu, mais, après les instants que nous vivrons ne seront que relaxation et paix. Qu'en penses-tu ? "

Elle continuait de marcher d'un pas régulier et ferme, elle était habituée à la marche rapide et longue. Ses cheveux la chatouillaient, et les mains de Perle la tenait au cou.

Yris répondit avec enthousiasme :

" Oui biensur, je me sens très fatiguée ! "

Yris était enchantée par la proposition de Rubis, elle se sentait fatiguée et voulait oublier cet après-midi qui était une pour elle une grosse deception,elle savait qu'elle devait travailler dur pour réussir dans sa vie et aquerir le monde de la bourgeoisie, il fallait qu'elle épouse un homme riche mais aussi qu'elle éprouve des sentiment envers lui. Yris était habituée a vivre en comunauté mais était indépendante, l'aventure ne lui faisait pas peur. Elle conti nuait de suivre rubis et Perle d'un pas pressé tout en continant de rêver.

° Fatiguée + Songeuse °

* Il faut que je me sorte de cette galère et vite qu'on arrive aux bains ! *

Yris suivait les deux filles et songeait toujours à son avenir futur, elle avait plein dambition maos son but était de s'intégrer dans la bourgeoisie et pour cela elle voulait se fiancait avec un homme riche, elle ne connaissait pas beaucoup de monde, mais elle demanderai à Rubi de lui montrer quelques coins de la ville pour y rencontrer d'autre personnes mais surtout des hommes dotés d'u ne fortune considerable .


* Je dois rencontrer d'autres personnes il ne faut pas que je reste tout le temps dans cette auberge ! *

° Très fatiguée et très songeuse °

Elle continuait de suivre Rubis et Perle , toutes les trois étaitent bientôt arrivés aux bains ...